What is it ? (22 avril)
Un résumé qui fait plouf !
Nous pensons que ce qui suit est conforme à la réalité des faits. Si des corrections s'avèrent nécessaires, notre blog est ouvert. Encore une fois, évitons les attaques personnelles. Seuls les faits sont têtus quand ils sont avérés.
Le porteur de projet de la reprise des bâtiments de
La société Vincent Cadeaux avait bénéficié de financements publics pour la construction des locaux à Avèze (FEDER, fonds européens dans le cadre d'Objectif 2). Ceci concernait seulemnt la partie fabrication de l'entreprise et pas la partie commerce de gros.
La mise en conformité nécessaire pour éviter les surprimes des assureurs était approximativement de 2 500 000€.
Des promesses d'aides publiques ont été faites par l'Etat, aux environs de 1 000000/1 500 000€, pour mettre les locaux en conformité, insuffisantes pour retenir l'entreprise.
Lorsque What's annonce son départ,
En 2007, le prix de vente est passé à 2 600 000 € justifié par l'ajout d'un bâtiment annexe de
Le 9 mai 2007, l'expertise de France-Domaines fixe la valeur à 1 990 000€.
Le 9 juillet 2007, le Conseil autorise le Président de
Après sa nomination au Vigan, le nouveau Sous-préfet visite les locaux avec le Président de
Décembre 2007, rapport de
Le 16 janvier 2008, signature de la promesse de vente par le président de la communauté des communes et le gérant de
Le 14 février 2008, après avoir eu connaissance du montant de la mise en conformité, les Domaines adressent à la communauté de communes l'annulation de leur estimation et signale au Président qu'il doit de nouveau les saisir pour réaliser une nouvelle expertise.
L'exigence de travaux révélés par le rapport de
Le 22 février, dernière réunion de ce conseil communautaire, le quorum est tout juste atteint. Les délégués ne semblent pas avoir été informés du courrier des Domaines. Le conseil communautaire autorise le Président à contracter des emprunts pour l'achat et solliciter des aides financières, (une abstention).
Les délibérations sont envoyées aux services de
Mr Boulet, maire d'Aulas, conteste : il n'est pas fait mention de son abstention et de son motif.
Aujourd'hui,
La fin de cette histoire est dans les mains du Président de
Du travail pour Monsieur Boulet, vice-président chargé de la communication !